C’est une rumeur qui a traversé les Pyrénées à la vitesse de l’éclair et qui plonge toute la Catalogne dans un état de choc : Luis Enrique, ancien entraîneur adulé du FC Barcelone et aujourd’hui stratège du PSG, serait à l’origine d’un plan machiavélique visant à frapper son ancien club en plein cœur. L’arme fatale de ce scénario ? Gavi, le jeune prodige formé à la Masia, considéré comme l’héritier naturel de Xavi et Iniesta.

Selon plusieurs médias espagnols, Enrique aurait confié en privé à un membre de la haute direction parisienne : « Si on recrute Gavi, je détruis l’héritage de la Masia. » Une phrase glaciale, lourde de rancune et d’arrière-pensées, qui aurait immédiatement fait le tour des cercles dirigeants à Barcelone. Pour certains, il s’agirait d’une simple exagération médiatique. Pour d’autres, c’est la preuve que l’entraîneur espagnol prépare depuis longtemps une revanche personnelle contre le club qui l’a écarté trop vite à l’époque.
💣 Une opération au-delà du sportif
L’intérêt du PSG pour Gavi ne serait pas seulement motivé par des ambitions sportives. L’objectif caché serait de priver le Barça de l’un de ses symboles les plus puissants, de lui ôter un pilier de son identité. Gavi, avec sa fougue et son style de jeu, incarne la nouvelle génération de la Masia et l’espoir d’un futur radieux pour les Blaugranas. L’arracher aujourd’hui, c’est comme voler l’âme même du club.

Et Paris met les moyens : un salaire triplé, une prime à la signature colossale, un rôle de leader garanti dès son arrivée et la suppression pure et simple de toute clause libératoire. De quoi faire vaciller même les convictions les plus solides.
😱 Un Pedri bouleversé, Laporta en crise
D’après une source interne au vestiaire catalan, Pedri aurait appris la nouvelle lors d’une séance d’entraînement à huis clos. Le milieu canarien, très lié à Gavi sur et en dehors du terrain, aurait eu du mal à cacher son émotion. On raconte même qu’il aurait quitté le centre d’entraînement plus tôt que prévu, prétextant une « indisposition », alors qu’il était simplement bouleversé. Sa conférence de presse prévue le lendemain matin a été annulée sans explication.
Du côté de la direction, Joan Laporta aurait convoqué une réunion d’urgence en pleine nuit avec Deco et plusieurs membres influents du conseil d’administration. Selon un témoin, le président du Barça avait « le visage livide » à l’annonce des garanties financières parisiennes. La menace est claire : si Gavi part, c’est toute la crédibilité du projet Barça qui s’effondre.
🔥 Paris jubile, Barcelone tremble
Luis Enrique, de son côté, savoure en silence. En privé, il aurait déjà esquissé l’ossature de son futur milieu de terrain : Gavi – Vitinha – João Neves, encadrés par des ailiers explosifs comme Barcola ou Asensio. L’idée est simple : construire une équipe jeune, talentueuse et revancharde, capable de rivaliser avec les plus grands d’Europe… et d’envoyer un message direct au Camp Nou.
La direction du PSG verrait également dans cette opération un moyen de prolonger la guerre psychologique entamée en 2017 lors du transfert de Neymar. Mais cette fois, le coup viendrait d’un homme formé et célébré par le Barça lui-même.
⏳ Un dénouement explosif à venir
Pour l’instant, le clan Gavi garde le silence. Officiellement, il est encore engagé jusqu’en 2026 avec Barcelone. Officieusement, plusieurs proches affirment que le joueur est intrigué par l’offre parisienne, autant pour l’aspect sportif que pour l’aventure humaine. Enrique, lui, veut une réponse avant la mi-août.
Si le transfert se concrétise, ce ne sera pas seulement un changement de maillot. Ce sera un séisme qui pourrait fissurer durablement les relations entre Paris et Barcelone, rallumant les braises d’une rivalité déjà brûlante. Et dans les coulisses, certains affirment que Pedri, incapable d’imaginer un Barça sans son compagnon de bataille, pourrait lui aussi envisager un départ…
En Catalogne, on retient son souffle. À Paris, on aiguise les armes. Et Luis Enrique, tel un joueur d’échecs implacable, avance son pion Gavi vers la case « échec et mat ».