C’était un massacre annoncé, mais peu auraient imaginé une telle humiliation. Inter Miami s’est incliné 0-4 dès la première mi-temps face au PSG, lors des huitièmes de finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025. Et alors que la planète football s’enflammait pour critiquer Lionel Messi, Zlatan Ibrahimovic, fidèle à son style tranchant, est monté au créneau… pour allumer tout le monde sauf la Pulga.
« Ce n’est pas Messi qui a perdu. C’est Inter Miami. Il jouait avec des STATUES. Des types qui couraient comme s’ils portaient des sacs de ciment. Vous croyez qu’on peut gagner une Coupe du Monde des Clubs avec ça ? », a lâché Ibra dans une interview exclusive sur la chaîne suédoise SportX.

Mais ce n’était que l’entrée. L’ancien buteur du PSG et du Barça a poursuivi avec une salve qui a mis le feu aux réseaux :
« Donnez-lui une vraie équipe. Mettez-le avec Ronaldo, Haaland, Mbappé et MOI. Et regardez les stades prendre feu. Aujourd’hui, Messi jouait avec des cônes d’entraînement ! »

L’intervention n’est pas passée inaperçue. À peine quelques heures après la diffusion, Ousmane Dembélé – l’un des buteurs face à Inter Miami – a réagi sans détour, via un commentaire lapidaire sur X :
« Messi mérite mieux, oui. Mais Zlatan qui parle de ciment ? Il n’a pas levé un genou en 2022. Qu’il rejoue d’abord, après on l’écoute. »
Cette réplique glaciale a rapidement été relayée dans les vestiaires du PSG, où plusieurs cadres auraient acquiescé en silence. Selon des sources proches du groupe parisien, Luis Enrique aurait même montré le post de Dembélé à l’équipe en disant : « C’est exactement l’esprit qu’il nous faut. »
Quant à Messi, aucune déclaration officielle. Mais certains reporters présents au centre d’entraînement d’Inter Miami ont remarqué qu’il avait passé une grande partie de la journée du lendemain isolé, regardant au loin, les bras croisés, comme s’il repassait chaque minute de cette débâcle dans sa tête.
Zlatan, de son côté, aurait envoyé un message privé à Messi pour lui dire : « Ils ne te méritent pas. Mais brûle tout la prochaine fois. »
Dans cette guerre de mots et d’orgueil, une chose est claire : le monde du football n’a pas fini de trembler, et à Miami, le feu couve sous les cendres d’une humiliation.