À seulement 17 ans, Lamine Yamal vient de poser une bombe au sein du vestiaire du FC Barcelone. Lors d’une réunion technique à huis clos organisée la semaine dernière à Ciutat Esportiva, le jeune prodige aurait exigé que tous les coups francs directs et penalties lui soient attribués à partir de la saison 2024–25. Un choix qui, selon nos sources, a été immédiatement validé par Hansi Flick – sans concertation avec les autres cadres.

La scène, racontée par un membre anonyme du staff, a duré moins de cinq minutes. Après avoir observé le plan de rotation prévu pour les coups de pied arrêtés, Yamal se serait levé calmement, aurait déchiré la feuille, puis déclaré :
« Si je suis sur le terrain, je tire tout. Ce n’est pas une question d’âge, mais de responsabilité. »
Lewandowski, pourtant tireur attitré des penalties depuis deux saisons, serait resté muet. Des témoins parlent d’un léger sourire crispé du Polonais, qui aurait quitté la salle avant la fin de la réunion. Il n’y aurait eu aucun échange direct entre les deux joueurs, mais l’ambiance depuis ce jour s’est visiblement tendue.

Un choix assumé… et calculé
De son côté, Flick aurait validé la demande sans sourciller, arguant du fait que “le football moderne appartient à ceux qui osent le prendre”. Une manière élégante de soutenir son joyau offensif… ou de se décharger d’une bombe à retardement ? Car cette décision, aussi audacieuse soit-elle, interroge sérieusement sur la hiérarchie réelle au sein du groupe catalan.
Selon un proche du vestiaire, plusieurs joueurs expérimentés “ont compris qu’une nouvelle ère était en marche, mais ne s’attendaient pas à la voir imposée de manière aussi frontale”.
L’écho inattendu venu de Madrid
Si Barcelone tente de minimiser l’affaire, du côté de Madrid, on n’a pas manqué l’occasion de réagir de manière perfide. Un compte Twitter proche de l’entourage de Florentino Pérez a publié dans la soirée un message énigmatique :
« Ici, personne ne se bat pour tirer. Tous peuvent le faire. Tous le font. »
Une pique directe adressée à l’adolescent barcelonais, qui semble vouloir concentrer tous les projecteurs… et toutes les responsabilités.
Le débat est désormais lancé dans la presse espagnole. Lamine Yamal est-il en train de grandir trop vite ? Ou bien est-il, tout simplement, le vrai patron technique et émotionnel d’un Barça en reconstruction ?
Quoi qu’il en soit, le Camp Nou retiendra son souffle la saison prochaine, car le moindre penalty manqué ou coup franc raté pourrait devenir une tempête médiatique. Et dans les coulisses, les regards croisés entre Yamal et Lewandowski risquent de raconter plus qu’un discours.