Depuis plusieurs jours, l’Espagne entière s’interroge : que s’est-il vraiment passé à Séville ?
Le Barça, humilié 1-4 sur la pelouse du Ramón Sánchez Pizjuán, a offert l’un des visages les plus déconcertants de son histoire récente. Mais au-delà du score, c’est une séquence très courte, filmée à la 73á” minute, qui a mis le feu aux réseaux sociaux.

Sur les images d’une caméra secondaire, on aperçoit Wojciech SzczÄsny, le gardien polonais du Barça, lever la tête après le troisième but encaissé… puis sourire. Pas un sourire amer ou gêné. Un sourire presque complice.
Et derrière lui, deux coéquipiers — dont un cadre du vestiaire — échangent un regard difficile à interpréter.

L’Espagne entière a vu cette scène, puis, quelques heures plus tard, la séquence a mystérieusement disparu du résumé officiel posté sur les comptes du club.

đ”ïžâïž Les réactions ont explosé.
Sur X (ex-Twitter), un supporter a publié :
“Ce n’est pas normal. On perd 1-4, et certains sourient ? Quelque chose cloche dans ce vestiaire.”
Un autre, plus direct :
“On dirait qu’ils savaient ce qui allait arriver. Ce n’est pas un match, c’est une pièce de théâtre.”
La presse madrilène s’est emparée du sujet. “Sourires suspects”, “Barça sous enquête visuelle”, “Les images qui dérangent” : les titres se multiplient. Même El Chiringuito a consacré une émission spéciale à cette minute 73 maudite, repassant au ralenti les regards échangés entre SzczÄsny, Olmo.
Du côté du club, silence radio.
Aucune déclaration officielle, aucune clarification. Seul Flick, visiblement agacé par les questions, a répondu brièvement :
“Les gens peuvent interpréter ce qu’ils veulent. Moi, je vois des joueurs frustrés, pas complices.”
Mais ses propos n’ont fait qu’attiser le feu.
Car un technicien vidéo interne — resté anonyme — aurait confirmé à un journaliste de COPE que “certains extraits du match avaient été coupés sur demande directe de la direction”.
⥠Et ce n’est pas tout.
D’après plusieurs sources proches du vestiaire, une altercation aurait éclaté après le match entre SzczÄsny et Dani Olmo. Ce dernier lui aurait reproché “d’avoir manqué de respect aux supporters” avec ce fameux sourire.
Une version qu’aucun des deux n’a souhaité commenter publiquement.
Pendant ce temps, le vestiaire se divise : certains parlent d’un simple malentendu, d’autres évoquent un malaise bien plus profond.
Aujourd’hui, le Barça traverse une tempête.
La défaite face à Séville n’est plus seulement sportive — elle devient symbolique : celle d’un club qui semble avoir perdu son âme, son feu intérieur, et peut-être même son unité.
Et ce sourire, figé sur l’écran avant de disparaître, est devenu l’image d’un mystère qui hante encore les supporters :
Était-ce juste une coïncidence ?
Ou bien… le signe d’un accord tacite que personne n’ose nommer ?
âł Une chose est sûre : tant que le club n’éclaircira pas cette scène, la rumeur continuera de grandir.
Et à Barcelone, où tout se sait — et tout se cache —, ce genre de silence en dit parfois bien plus que mille explications.