L’été devait être synonyme de renouveau pour le Real Madrid, avec l’arrivée tant attendue de Xabi Alonso sur le banc madrilène. Mais à peine nommé, l’ancien milieu de terrain se retrouve plongé dans une tempête institutionnelle : la colère du club contre La Liga explose.

Tout a commencé avec la publication du calendrier officiel. Les supporters n’en croient pas leurs yeux : des déplacements lointains programmés en milieu de semaine, des horaires incohérents, et un traitement jugé de faveur envers d’autres clubs, notamment le rival catalan, le FC Barcelone.

Xabi Alonso, qui misait sur une pré-saison solide et structurée, se retrouve déjà acculé. Les séances d’entraînement sont perturbées par les ajustements de dernière minute, les joueurs sont épuisés, et la tension monte dans les vestiaires. Le coach espagnol, réputé pour sa rigueur et sa vision tactique, voit ses plans dérailler avant même le coup d’envoi officiel.

Les dirigeants du Real Madrid n’ont pas tardé à réagir. Florentino Pérez envisagerait de convoquer une réunion d’urgence avec les représentants de La Liga pour réclamer des explications. Du côté des joueurs, l’agacement se ressent, bien que les plus jeunes comme Jude Bellingham ou Arda Güler tentent de garder le moral.
« C’est une provocation déguisée », confie un proche du club. Et cette accumulation de frustrations pourrait avoir des répercussions dès les premières journées de championnat.
Pour Xabi Alonso, le défi est clair : garder le cap, malgré les turbulences. Mais pour cela, encore faut-il que la Liga joue le jeu…