Le 14 août 2025, le stade Friuli a été le théâtre d’une soirée déjà promise à entrer dans la légende. Mais derrière l’égalisation miraculeuse du Paris Saint-Germain face à Tottenham, une rumeur enflamme les coulisses : le gardien londonien aurait prononcé quelques mots de trop, évoquant un scandale confidentiel du vestiaire parisien… juste avant de voir Gonçalo Ramos surgir et changer le destin du match.

Tout commence à la 93e minute, alors que Tottenham mène encore 2-1 et se voit déjà soulever la Supercoupe d’Europe. Les Parisiens, épuisés, jettent leurs dernières forces dans la bataille. Le gardien des Spurs, sûr de lui après plusieurs arrêts décisifs, aurait profité d’un instant de flottement pour s’adresser en français à un défenseur parisien. Selon une source interne, les mots prononcés concernaient une affaire sensible, gardée secrète au sein du vestiaire du PSG depuis plusieurs mois.
“C’était une pique calculée, pas un hasard. Il savait ce qu’il disait, et à qui il le disait”, confie un membre du staff parisien, sous couvert d’anonymat. Les propos auraient immédiatement circulé sur le terrain, atteignant Gonçalo Ramos en quelques secondes. L’attaquant portugais, jusque-là en retrait, aurait alors échangé un regard furtif avec Ousmane Dembélé, comme pour dire : “C’est maintenant.”
Moins d’une minute plus tard, le scénario bascule. Dembélé déborde sur l’aile droite, ajuste un centre parfait au second poteau. Ramos, parfaitement placé, s’élève au-dessus de la défense et catapulte le ballon de la tête au fond des filets. Le stade explose, mais sur le banc parisien, certains visages affichent une satisfaction qui semble dépasser le simple fait d’égaliser.
L’égalisation amène le match aux tirs au but. Et là, tout s’écroule pour Tottenham : Van de Ven voit sa tentative repoussée par Donnarumma, puis Mathys Tel envoie son ballon dans les nuages. Les Parisiens, eux, transforment quatre de leurs cinq essais. Score final : 4-3. Un nouveau trophée pour Paris… et un goût amer pour les Spurs.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Dans les couloirs du stade, plusieurs joueurs parisiens auraient laissé entendre que la phrase du gardien adverse avait été “l’élément déclencheur” de leur révolte. L’un d’eux aurait même glissé : “Il a ouvert une porte qu’il n’aurait jamais dû ouvrir.”
De quoi parlait-il exactement ? Les spéculations vont bon train. Certains évoquent une dispute interne survenue après la finale de Coupe du Monde des Clubs, impliquant une star parisienne et un membre du staff. D’autres parlent d’une altercation physique à l’entraînement, soigneusement étouffée par la direction. Quoi qu’il en soit, le fait que le gardien de Tottenham ait pu en parler sur le terrain laisse penser qu’une fuite d’informations a eu lieu.
Interrogé en conférence de presse, Thomas Frank, l’entraîneur des Spurs, a tenté d’éluder :
— “Je ne commente pas les rumeurs. C’était un match intense, avec de la tension. Parfois, on dit des choses qu’on ne devrait pas.”
Une phrase qui, loin d’apaiser la polémique, l’a au contraire alimentée.
Pour Luis Enrique, ce match devient un symbole : celui d’un PSG capable de retourner une situation désespérée grâce à un déclic mental, fût-il provoqué par la provocation d’un adversaire. “Dans le football, il y a des limites à ne pas franchir. Nous, ce soir, nous avons répondu sur le terrain”, a-t-il déclaré avec un sourire énigmatique.
Ce succès en Supercoupe d’Europe est le quatrième titre de l’année pour Paris, après la Ligue 1, la Coupe de France et la Ligue des Champions. Mais il restera dans les mémoires comme la nuit où quelques mots murmurés ont peut-être changé le cours de l’histoire.
Et si, derrière l’éclat sportif, cette affaire révélait surtout que, dans le football moderne, la psychologie est parfois l’arme la plus tranchante ? Une chose est sûre : après Friuli, Tottenham sait qu’une phrase mal placée peut coûter bien plus qu’un match.