C’était censé être un simple trajet nocturne sur une route déjà tristement célèbre pour sa dangerosité. Mais à 0h23 du matin, 12 minutes avant que la Lamborghini Huracán transportant les frères Diogo Jota et André Silva n’explose dans un ravin à Zamora, un témoin clé aurait vu quelque chose d’absolument inexplicable.

José Azevedo, 52 ans, conducteur de poids lourd depuis plus de 30 ans, a brisé le silence ce matin sur les ondes de Radio Porto :
« La Lamborghini m’a dépassé très rapidement, mais pas à une vitesse illégale. Ce qui m’a choqué, c’est ce que j’ai vu juste après. »
Selon lui, la voiture aurait émis un éclair lumineux bleuté étrange avant de ralentir brusquement, comme si elle avait brièvement calé, puis elle serait repartie à pleine vitesse… sans bruit de moteur.
« J’ai eu l’impression qu’elle planait quelques secondes au-dessus de la route. Je sais que ça paraît fou. Mais j’ai conduit sur toutes les routes d’Europe, et je n’ai jamais vu un truc pareil. »
Cette déclaration, jugée « troublante » par les enquêteurs, vient contredire le rapport officiel préliminaire publié le 8 juillet, qui évoquait un excès de vitesse et une perte de contrôle due à un possible éclatement de pneu.
Mais ce n’est pas tout : l’homme affirme avoir visionné les images de sa dashcam en présence d’un ami mécanicien. Ce dernier aurait remarqué une lueur inhabituelle sous la voiture, comme si un élément mécanique s’était détaché ou avait explosé sous la pression thermique.
⚠️ L’ENQUÊTE RELANCÉE
Suite à ce témoignage glaçant, la Garde civile espagnole a décidé de rouvrir un pan de l’enquête, en se concentrant sur deux nouvelles pistes :
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Une défaillance électronique ou un sabotage du système embarqué de la Lamborghini.
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La possibilité d’un problème de batterie ou d’élément hybride non déclaré, bien que la Huracán utilisée n’était pas censée en avoir.
Ce qui intrigue le plus les enquêteurs, c’est le temps précis entre l’observation d’Azevedo (0h23) et l’heure estimée de l’accident (0h35).
Un trou de 12 minutes, au cours duquel personne ne sait ce qu’il s’est passé.
« Nous cherchons à établir si le véhicule s’est arrêté quelque part, ou s’il a connu un incident technique qui ne s’est pas manifesté immédiatement », a confié un inspecteur sous couvert d’anonymat.
🕯️ UNE AFFAIRE LOIN D’ÊTRE CLOSE
Dans les rues de Porto et Lisbonne, les fans de Diogo Jota réclament la vérité. L’émotion est vive, mais les spéculations aussi. Sur les réseaux sociaux, certains parlent déjà de “mystère Lamborghini”, d’autres pointent du doigt une hypothèse de sabotage volontaire, évoquant les tensions entre Jota et certains agents du marché des transferts.
« Ce n’était pas juste un accident. Quelque chose cloche. Et maintenant qu’on entend ce que ce chauffeur a vu, je n’en doute plus », commente un proche anonyme de la famille sur X (ex-Twitter).
Dans l’attente de résultats complémentaires de l’analyse des pneus et du système de freinage, une chose est sûre : le témoignage de José Azevedo a tout changé.
Et désormais, une simple lumière bleue pourrait bien devenir la clé du mystère Jota.