Paris, 19 juillet 2025 – Dans un été qui s’annonçait calme, le PSG vient de déclencher une onde de choc : Marco Asensio et Milan Škriniar ont été définitivement transférés à Fenerbahçe. Mais derrière cette décision, une vérité plus explosive se cache… et certains proches du club parlent déjà d’un vestiaire au bord de l’implosion.
Le départ d’Asensio serait en réalité la conséquence directe d’un différend avec Luis Enrique. L’Espagnol, déçu par son faible temps de jeu et par des promesses non tenues, aurait refusé de jouer un rôle secondaire. Dans les couloirs du Camp des Loges, on murmure qu’il aurait eu une altercation verbale avec un membre du staff technique. Le PSG, lassé, aurait accepté l’offre turque (15M€) sans négocier davantage. Fini les états d’âme.
Du côté de Škriniar, le discours officiel évoque un choix tactique. Mais en interne, certains le jugent “inadapté au pressing moderne” d’Enrique. Trop lent, trop rigide, pas assez mobile. Malgré une bonne saison en Turquie, il n’entrait plus dans les plans. Vendu pour 12M€, son salaire faramineux de 8M€ net par an a aussi pesé lourd dans la balance.
Cette opération à double tranchant libère de la masse salariale, certes, mais elle accentue un vide stratégique dans l’effectif parisien. Et les supporters, lucides, le sentent : “On vend vite, mais on ne recrute rien. Et après on s’étonne de se faire sortir en février…” déplore un fan sur X.
La presse turque jubile. À Istanbul, on évoque une “masterclass” du président de Fenerbahçe, et Mourinho savoure ses retrouvailles avec deux anciens de Liga. L’ambition est claire : reprendre le trône national et créer un choc en Europe.
À Paris, la manœuvre semble précipiter une autre offensive : celle pour Eduardo Camavinga. Le milieu du Real Madrid, lassé de jouer en latéral, aurait ouvert la porte à un départ. Enrique, séduit par son profil, aurait déjà activé ses relais en Espagne.
Ce double départ pourrait bien n’être que le début d’un nettoyage en profondeur. Draxler, Soler, Ekitike… d’autres noms sont dans le viseur. Et pendant ce temps, les rumeurs sur un retour de Neymar ou une arrivée surprise de João Neves continuent d’agiter les forums.
Une chose est sûre : le PSG version 2025 n’aura rien à voir avec celui des années passées. Plus brutal, plus politique, plus imprévisible. Mais cette révolution sera-t-elle payante… ou fatale ?