C’est une révélation qui risque de faire grand bruit dans le monde du football européen. Alors que la finale du Club World Cup vient à peine de s’achever, une déclaration choc de l’entraîneur du FC Barcelone, Hansi Flick, fait trembler les coulisses des grands clubs : « J’avais prévenu Xabi Alonso à propos de Mbappé ».

Selon plusieurs sources proches du dossier, cette phrase aurait été prononcée dans un échange privé entre Flick et des journalistes espagnols, peu après la déroute du PSG face à Chelsea. À première vue anodine, cette confidence prend aujourd’hui une toute autre dimension, notamment en raison des rumeurs persistantes sur la possible arrivée de Kylian Mbappé au Real Madrid, équipe dirigée par Xabi Alonso dès la saison prochaine.

Mais pourquoi Flick aurait-il voulu alerter Xabi ? Des éléments recueillis par Mundo Deportivo et L’Équipe laissent entendre que l’entraîneur allemand aurait identifié certaines tensions internes autour de la star française, bien avant que celles-ci ne soient rendues publiques. Fatigue accumulée, gestion délicate des ego dans le vestiaire parisien et relation distante avec le staff : Flick aurait senti que quelque chose n’allait pas.

« Ce n’est pas une critique, c’est un conseil », aurait-il ajouté, toujours selon les mêmes sources. Certains analystes estiment que cette sortie publique pourrait être perçue comme un message indirect à la Maison Blanche : gérer un joueur comme Mbappé n’est pas qu’une question de talent, mais aussi d’équilibre collectif.
Côté Real Madrid, aucune réponse officielle n’a été donnée. Mais dans l’entourage de Xabi Alonso, on aurait accueilli cette remarque avec prudence, voire avec agacement. « Xabi sait parfaitement ce qu’il fait. Il n’a pas besoin d’avertissements », aurait déclaré un proche du technicien espagnol.
Ce qui est certain, c’est que cette phrase de Flick ne passera pas inaperçue. Entre stratégie, communication subtile et jeu d’influences, le football moderne n’est plus seulement un sport, mais aussi une guerre psychologique où chaque mot compte.
Et dans cette guerre-là, Flick vient peut-être de frapper un grand coup.