Le football européen est une nouvelle fois secoué par un scandale arbitral d’une ampleur rarissime. L’arbitre principal de la finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025, opposant Chelsea au Paris Saint-Germain, a été officiellement convoqué par la FIFA pour répondre d’une série de décisions jugées graves, contestables et potentiellement partiales, qui auraient lourdement désavantagé le club français.
Le match, qui s’est soldé par une défaite cuisante 3-0 du PSG, avait déjà laissé un goût amer à de nombreux observateurs. Mais c’est l’attitude de l’arbitre central pendant la rencontre qui a véritablement cristallisé les tensions. Dès le coup de sifflet final, plusieurs voix se sont élevées au sein du camp parisien pour dénoncer une accumulation de décisions injustifiables, dont certaines pourraient relever d’une volonté délibérée de nuire.

Parmi les actions les plus critiquées :
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Un penalty flagrant non sifflé sur Kolo Muani en première mi-temps, malgré un contact évident et des ralentis accablants.
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Un carton rouge très sévère contre Marquinhos, suite à une faute légère sans intention manifeste.
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Et surtout, un troisième but de Chelsea validé malgré un hors-jeu visible, même sans VAR.
Face à la polémique grandissante, la FIFA a annoncé l’ouverture d’une enquête disciplinaire officielle. L’arbitre – dont le nom n’a pas été révélé publiquement dans l’immédiat – devra justifier l’ensemble de ses décisions devant une commission indépendante. Les premières auditions auraient déjà débuté ce matin à Zurich.
Selon une source proche de l’instance, les images VAR internes n’auraient pas été consultées correctement sur au moins deux actions décisives, ce qui constituerait une violation du protocole officiel FIFA. Pire encore : certaines rumeurs évoquent une possible interférence externe ou pression indirecte en faveur de Chelsea, ce qui, si prouvé, ouvrirait la voie à une sanction exemplaire… voire une suspension à vie de l’arbitre concerné.
Du côté du PSG, c’est l’indignation totale. Le président Nasser Al-Khelaïfi a demandé « des réponses claires et rapides » de la part de la FIFA, et aurait déjà saisi le TAS pour préparer un éventuel recours. Luis Enrique, très remonté, a déclaré en conférence de presse :
« Ce que nous avons vécu sur ce terrain n’a rien à voir avec du football. C’est une parodie d’arbitrage. »
Sur les réseaux sociaux, la vague de colère est massive. Les hashtags #FIFACorruption, #JusticePourParis et #ChelseaGate sont devenus viraux. De nombreux fans, même hors de France, dénoncent une dérive grave du football moderne, où l’arbitrage semble de plus en plus sujet à controverses et influences.
La FIFA, de son côté, tente de calmer les esprits. Un communiqué officiel assure que « toutes les zones d’ombre seront levées » et que l’organisation reste « fermement engagée dans la transparence, l’intégrité et la justice sportive ».
Mais pour beaucoup, le mal est fait. Cette finale, censée couronner une saison de travail acharné, est désormais entachée d’un soupçon de manipulation. Et même si la victoire de Chelsea n’est pas remise en cause sur le plan comptable, le débat est ouvert : le PSG aurait-il pu soulever le trophée sans ces décisions litigieuses ?
La réponse dépendra de l’enquête. Et le verdict final de la FIFA, attendu dans les jours à venir, pourrait bien redistribuer les cartes du football international. Une chose est sûre : le PSG n’en restera pas là. Et si l’arbitre est jugé coupable, ce scandale pourrait rester dans les mémoires comme l’un des plus graves de l’histoire récente du sport mondial.