🔴 NOUVELLE POLÉMIQUE QUI ÉCLATE : Luis Enrique accuse soudainement le Bayern d’avoir “allumé la mèche” de la chute du PSG – L’Allianz Arena reste silencieuse… mais les hautes sphères du Bayern commencent à préparer leur riposte !

Le monde du football européen est une nouvelle fois secoué par une déclaration inattendue. Après l’humiliation subie par le Paris Saint-Germain en finale de la Coupe du Monde des Clubs face à Chelsea (0-3), l’entraîneur du PSG, Luis Enrique, a pointé du doigt un responsable inattendu : le Bayern Munich.

Lors d’une conférence de presse d’après-match, le technicien espagnol a affirmé que les ajustements tactiques opérés par le Bayern lors de la dernière Ligue des Champions auraient inspiré Chelsea à élaborer un plan de jeu destructeur face à Paris. « Il ne faut pas croire que ce que fait un club reste dans un coin. Chelsea a clairement étudié ce que le Bayern a construit ces derniers mois. Et cela nous a coûté très cher », a-t-il lâché, déclenchant une onde de choc dans les médias européens.

Ces propos n’ont pas tardé à faire réagir les supporters, divisés entre compréhension et scepticisme. Tandis que certains fans parisiens défendent leur coach, d’autres y voient une tentative maladroite de détourner l’attention d’un échec cuisant.
À Munich, la direction du Bayern n’a pas encore réagi publiquement. Le silence de l’Allianz Arena est toutefois interprété par plusieurs journalistes allemands comme le calme avant la tempête. Selon des sources proches du club bavarois, le président Herbert Hainer et le directeur sportif Christoph Freund envisageraient une réponse formelle à ce qu’ils considèrent comme une attaque gratuite et inappropriée.
« Le Bayern n’a de comptes à rendre à personne sur ses choix tactiques. Si Enrique a des problèmes internes, qu’il les règle à Paris », aurait déclaré un cadre du club sous couvert d’anonymat.
Alors que la tension monte entre deux des plus grands clubs européens, cette querelle pourrait bien s’étendre au-delà des terrains. Certains observateurs redoutent déjà que cette polémique n’influence les futures négociations entre clubs allemands et français, ou pire, la dynamique entre entraîneurs de renom à l’approche de l’Euro 2026.