🚨 TENSION MAXIMALE EN INTERNE : Tebas rejette l’exigence du Real, mais plusieurs dirigeants de la RFEF se montrent compréhensifs – un rebondissement de dernière minute est-il encore possible ?

Alors que le Real Madrid sort à peine d’un parcours éreintant au FIFA Club World Cup, achevé sur une humiliante défaite 0-4 face au PSG en demi-finale, le club madrilène se retrouve confronté à un nouveau front : la Liga refuse de reporter son match d’ouverture contre Osasuna prévu le 19 août. Une décision qui fait monter la tension au sommet du football espagnol.

Florentino Pérez et l’état-major merengue avaient officiellement demandé un décalage de la première journée afin de permettre aux joueurs de bénéficier d’un repos suffisant. Le Real Madrid, avec ses 68 matchs disputés sur l’ensemble de la saison (record européen), argue que la santé des joueurs est en jeu. Mais Javier Tebas, président de la Liga, a sèchement rejeté cette demande, qualifiant l’écart de 20 jours de récupération comme “parfaitement raisonnable”, et précisant que “personne d’autre en Europe n’a ajusté son calendrier pour ce motif”.

Cependant, selon des sources proches de la RFEF (Fédération royale espagnole de football), certains dirigeants de haut rang seraient en désaccord avec la position inflexible de Tebas. Ils jugeraient fondée la requête du Real, soulignant l’intensité physique du tournoi mondial et la nécessité d’un dialogue plus humain. Ces voix discordantes au sein de l’institution pourraient créer une brèche dans la ligne officielle.
Dans les coulisses, des discussions seraient encore en cours entre la RFEF, La Liga et les représentants du Real. Un compromis de dernière minute, tel qu’un léger aménagement de l’horaire ou une inversion de calendrier, n’est pas à exclure. “Il y a de la pression de toutes parts”, confie un cadre anonyme, “et Tebas ne pourra pas ignorer longtemps le poids médiatique et politique du Real”.
Thibaut Courtois, gardien emblématique du club, a lui aussi fustigé Tebas publiquement : “Je n’ai jamais vu un président de ligue parler comme ça. Il oublie qu’on représente l’Espagne à l’international.” Une déclaration qui a enflammé les réseaux sociaux et relancé le débat sur la gouvernance du football espagnol.
Le compte à rebours est lancé : la balle est dans le camp de Tebas… ou d’un éventuel retournement de situation de dernière minute.