Un nom oublié ressurgit : les plans secrets du Barça pour l’après-Rashford ?
Le FC Barcelone continue de manœuvrer discrètement sur le marché des transferts, malgré ses contraintes financières. Si les projecteurs sont braqués sur des stars comme Luis Díaz ou Marcus Rashford, la direction catalane explore des pistes bien plus discrètes, mais tout aussi stratégiques. Selon plusieurs sources internes, cinq joueurs ont été longuement suivis par les cellules de recrutement du club — et l’un d’entre eux aurait fait tilt auprès du président Joan Laporta.

Parmi ces noms, Antonio Nusa, aujourd’hui au RB Leipzig, avait déjà été ciblé du temps où il brillait au Club Bruges. Le Norvégien, explosif et encore jeune, incarne parfaitement le profil « nouvelle génération » que veut construire le Barça.
Autre cas intrigant : Kenan Yildiz. En 2022, le club blaugrana était tout proche de le recruter alors qu’il quittait le Bayern. Finalement, la Juventus l’a devancé. Depuis, le joueur turc a pris de l’envergure, notamment après ses performances lors de la Coupe du Monde des Clubs, ce qui aurait relancé brutalement l’intérêt catalan. Une situation qui n’a pas échappé à Laporta, lequel aurait personnellement validé une relance de dossier.
Dans l’ombre de ces discussions, un autre élément pourrait faire basculer le jeu : Ronald Araújo. Le défenseur central uruguayen, très apprécié à Turin, figure sur la liste des cibles prioritaires de la Juventus. Plusieurs analystes y voient les prémices d’un éventuel échange, où un jeune talent offensif pourrait faire le chemin inverse pour atterrir au Camp Nou.
Enfin, Ben Seghir et Magnes Akliouche (AS Monaco) complètent cette short-list mystérieuse. Si Akliouche intrigue, c’est surtout Ben Seghir qui aurait bluffé les recruteurs barcelonais par son intelligence de jeu et sa polyvalence.
Alors que les médias spéculent sur des signatures clinquantes, le Barça pourrait frapper un grand coup… dans le silence. Et si, derrière ces rumeurs, un accord souterrain avec la Juventus était déjà en gestation ? Une chose est sûre : à Barcelone, tout se joue loin des caméras, mais jamais sans stratégie.