⚠️ Coup de théâtre : Alonso renie l’identité offensive du Real – Bellingham et Rodrygo sacrifiés au profit du super recrue Trent !

Le Real Madrid vit une révolution tactique sous la direction de Xabi Alonso. Alors que le club s’est qualifié pour les demi-finales de la Coupe du Monde des Clubs, c’est un Real transformé qui intrigue autant qu’il divise. L’élément central de ce bouleversement ? Le repositionnement radical de l’aile droite au profit de Trent Alexander-Arnold, reléguant deux stars majeures, Jude Bellingham et Rodrygo, à des rôles secondaires.

Rodrygo, autrefois indiscutable dans l’animation offensive du Real, ne joue plus qu’un rôle marginal. Depuis l’arrivée d’Alonso, il n’a totalisé que 27 minutes sur le terrain lors des quatre derniers matchs. Un chiffre inquiétant pour un joueur qui, sous Carlo Ancelotti, incarnait l’explosivité et la créativité sur les côtés.

Jude Bellingham, quant à lui, semble aussi affecté par les nouveaux choix de son entraîneur. Alors qu’il brillait dans un rôle de meneur de jeu avancé, l’ancien de Dortmund est désormais redéployé plus en retrait, parfois même cantonné à des tâches défensives qui brident son instinct offensif.
Au cœur de ce remaniement, la recrue Trent Alexander-Arnold, fraîchement arrivée de Liverpool, s’impose comme le nouveau chef d’orchestre de l’aile droite. Non pas en tant qu’ailier, mais comme un défenseur latéral hybride, chargé d’initier les offensives, dicter le rythme et connecter les lignes. Sa précision de passe et son intelligence tactique ont convaincu Alonso de remodeler tout le système autour de lui.
Ce choix stratégique divise les supporters. Si certains saluent le courage d’Alonso et l’efficacité du système – qui a permis de battre successivement la Juventus puis Dortmund –, d’autres dénoncent l’abandon du style offensif historique du Real Madrid.
Les prochains matchs diront si cette révolution tiendra la route face à des adversaires de plus en plus coriaces, à commencer par le PSG. Une chose est sûre : le Real d’Alonso ne ressemble plus à celui que le monde connaissait.