🛑 ÇA BOUILLONNE À L’INTÉRIEUR DU BERNABÉU : Arsenal soumet son offre finale – Pérez retiendra-t-il ou laissera-t-il partir Rodrygo ?
Le feuilleton Rodrygo prend une tournure décisive. Selon les informations du Mirror, Arsenal aurait formulé une offre finale de 80 millions d’euros pour s’attacher les services du Brésilien, actuellement en perte de vitesse au Real Madrid.
Alors que Rodrygo Goes a publiquement exprimé son souhait de rester à Madrid, les circonstances actuelles pourraient le pousser vers la sortie. Sous la houlette de Xabi Alonso, l’ailier de 24 ans n’est plus un titulaire indiscutable. Il n’a disputé que 89 minutes lors du récent FIFA Club World Cup, laissant planer le doute sur sa place dans le projet du nouvel entraîneur madrilène.
Dans l’ombre, la montée en puissance d’Arda Güler et l’arrivée imminente de Franco Mastantuono changent complètement la donne. Le Real Madrid, riche en jeunes talents offensifs, doit désormais faire des choix. La hiérarchie offensive est en pleine recomposition, et Rodrygo se retrouve en concurrence directe avec deux prodiges pressentis pour devenir des piliers du club.
C’est dans ce contexte qu’Arsenal, à la recherche d’un ailier polyvalent capable d’évoluer sur les deux flancs, entre dans la danse. Le club londonien, confronté aux blessures récurrentes de Saka, Martinelli et Trossard la saison passée, voit en Rodrygo une solution idéale pour renforcer sa ligne d’attaque. Mikel Arteta aurait validé le profil du Brésilien, le considérant comme une pièce maîtresse de la rotation offensive.
Le président Florentino Pérez est désormais face à un dilemme stratégique : céder un joueur formé au club et expérimenté, ou conserver un élément dont le rôle s’est réduit considérablement ces derniers mois ? Avec un contrat courant jusqu’en 2028, Rodrygo conserve une valeur marchande élevée. Refuser l’offre d’Arsenal pourrait signifier s’enfermer dans une impasse sportive et financière.
L’avenir de Rodrygo semble suspendu à la décision du patron madrilène. Le mercato bat son plein, et chaque heure compte désormais dans ce dossier brûlant.
