La scène a laissé tout le monde bouche bée : lors de la Coupe du Monde des Clubs, Désiré Doué est apparu chaussé d’une paire d’Adidas F50, modèle signature de Lionel Messi lui-même. Ces crampons, conçus spécialement pour optimiser la vitesse et la vivacité, sont le fruit d’un héritage technique exceptionnel qu’Adidas réserve au GOAT argentin, après avoir mis fin à la gamme Nemeziz en 2021.
Pour rappel, la ligne F50 a fait son grand retour dans l’arsenal de Messi, symbolisant la performance et la flexibilité qui collent parfaitement à son style de jeu. Parmi ses signatures personnelles, on retrouve notamment l’édition “Triunfo Estelar” lancée le 10 octobre dernier, une véritable pièce de collection.
🤯 Mais voir un jeune talent français comme Doué porter ce bijou technologique face au maître lui-même, c’est un scénario que personne n’aurait osé imaginer. Selon des sources proches de l’équipe, certains coéquipiers de Doué auraient très mal digéré ce choix, y voyant une forme de provocation, voire de trahison. Comment peut-on défier Messi en portant ses propres armes ?, ont soufflé plusieurs joueurs furieux.
🎙️ Dans les vestiaires, la tension serait montée d’un cran. Certains cadres auraient reproché à Doué un manque de respect flagrant, accusant son geste de semer le doute sur la motivation collective de l’équipe. D’autres, plus mesurés, estiment au contraire qu’il s’agissait d’un hommage, un clin d’œil à l’idole d’enfance que représente Messi pour toute une génération.
👉 Pendant ce temps, Messi lui-même n’a pas paru dérangé. Avec son flegme habituel, il s’est contenté de sourire quand il a aperçu les crampons portés par son adversaire, avant de signer une masterclass sur la pelouse comme à son habitude.
Mais sur les réseaux, la polémique enfle : Doué est-il allé trop loin ? Était-ce une maladresse, un hommage sincère ou un simple coup marketing ? Personne ne sait encore, mais une chose est sûre : cette histoire de crampons a électrisé le Mondial des Clubs et fait couler beaucoup d’encre.
👉 Et vous, que pensez-vous de ce geste ? Admiration, opportunisme… ou pure provocation ?
