Mascherano accuse João Neves d’avoir pris une “pilule suspecte” en plein match : la FIFA intervient, le verdict fait l’effet d’une bombe

Le match amical explosif entre le PSG et l’Inter Miami a de nouveau fait couler beaucoup d’encre. Après la polémique sur la célébration de João Neves face à Messi, c’est une nouvelle affaire encore plus sensible qui éclate autour du jeune milieu portugais. Javier Mascherano, actuel entraîneur de la sélection olympique argentine, a accusé João Neves d’avoir pris une “pilule mystérieuse” en plein match, devant les caméras, provoquant une demande officielle de contrôle antidopage auprès de la FIFA.
🎥 Un geste “étrange” capté en direct
Tout est parti d’une séquence diffusée à la 57e minute du match, où l’on voit João Neves, assis sur le banc après son remplacement, sortir discrètement une petite gélule blanche de sa chaussette et l’avaler avec une gorgée d’eau. Si la scène passe inaperçue pour la plupart des spectateurs, Mascherano, lui, ne la rate pas. Aussitôt, il s’adresse au quatrième arbitre, puis à son staff, et réclame un rapport d’incident à la FIFA.
« Je n’accuse pas à la légère. J’ai vu un geste étrange, et dans un contexte de sport de haut niveau, ce genre d’action mérite d’être vérifiée », a-t-il déclaré en conférence de presse.
⚠️ La FIFA saisie dans l’urgence
Alertée par les images et le signalement du coach argentin, la FIFA a immédiatement ouvert une procédure de vérification rapide, ordonnant un contrôle antidopage express sur João Neves à la fin du match. Le PSG, informé, a coopéré pleinement, tout en dénonçant une tentative de “déstabilisation médiatique”.
Le directeur médical de la FIFA s’est montré prudent mais ferme :
« Nous devons agir vite dans ce genre de situation. La transparence est essentielle. »
🧪 Le verdict tombe… et choque tout le monde
Quelques heures plus tard, les résultats tombent : aucune substance interdite n’a été détectée dans le corps de João Neves. Mais l’information la plus surprenante est venue du médecin du PSG, qui a confirmé que le joueur avait simplement pris un comprimé de glucose pour gérer une légère chute de tension — un traitement autorisé et courant, surtout en conditions de chaleur extrême.
« João s’est senti faible. Nous avions prévu cela avec notre staff médical. Il n’y a rien d’illégal, tout a été validé dans les règles », a assuré le docteur Laurent Aumont, médecin du PSG.
💥 Réactions en chaîne et malaise persistant
Si l’affaire semble close sur le plan réglementaire, le mal est fait sur le plan médiatique. João Neves, très affecté, aurait exprimé son indignation en privé, estimant que Mascherano a voulu “salir sa réputation” en pleine ascension.
Le PSG, de son côté, envisage de porter plainte contre les propos publics de Mascherano, estimant qu’il y a eu diffamation.
🧨 Une tension qui dépasse le cadre du match
Certains observateurs y voient un conflit latent entre l’Argentine et le Portugal, deux nations en lutte indirecte sur le plan générationnel dans le football mondial. D’autres évoquent un sentiment de jalousie face à l’éclosion rapide de João Neves, que certains voient déjà comme un Ballon d’Or potentiel dans les années à venir.
Mascherano, quant à lui, ne s’est pas excusé, affirmant qu’il “agirait de la même façon” s’il devait revivre la scène. Une déclaration qui laisse penser que le climat restera tendu entre les deux camps, à quelques semaines des Jeux Olympiques de Paris où les deux sélections pourraient se recroiser…