Ce qui semblait n’être qu’un commentaire de jeune joueur a déclenché un ouragan. Lors d’un live Instagram suivi par plus de 400 000 fans, Lamine Yamal, 17 ans, a ouvertement déclaré que les triomphes du Real Madrid en Ligue des Champions étaient “le fruit de la chance et du favoritisme arbitral”. Mais ce n’est pas tant la déclaration elle-même que le ton employé — moqueur, sûr de lui — qui a mis le feu aux poudres.

🎙️ « Ils ne gagnent pas grâce à leur football, mais parce que l’UEFA les veut au sommet », a-t-il lancé, un sourire ironique en coin, avant d’ajouter : « Ils auraient dû appeler leur trophée ‘Ligue du Hasard’ ! »

Quelques heures plus tard, la vidéo est reprise en boucle sur TikTok et X, atteignant plus de 18 millions de vues. Des hashtags comme #RealFortuneFC ou #YamalTruth explosent. La base de fans merengue s’insurge. Dans l’ombre, le Real s’organise.

🚨 Le lendemain, Xabi Alonso monte au créneau. En conférence de presse d’avant-match, il interrompt une question de journaliste en citant — à la stupeur générale — une phrase en latin :
« Fortuna favet fortibus. » (La chance sourit aux courageux).
Silence dans la salle. Puis, il sort un petit carnet visiblement ancien de sa veste. Selon des journalistes présents, ce carnet appartiendrait à son grand-père — ancien soldat — et contiendrait des maximes transmises au sein de sa famille. Cette réplique “hors-norme” devient immédiatement virale.
Mais ce n’est pas tout. Un extrait vidéo fuitera ensuite sur les réseaux : on y voit Vinicius, Bellingham et même Modric, en train de répéter la phrase en trois langues différentes dans le vestiaire, juste avant l’entraînement. L’objectif ? L’imprimer sur leurs protège-tibias pour le prochain match.
🔍 Selon des sources internes relayées par Marca, une réunion à huis clos entre Florentino Pérez et Alonso aurait eu lieu après cette affaire. Le président du Real aurait confié : « C’est exactement pour ça qu’on t’a choisi. Pas pour les titres. Pour la stature. » Une phrase qui en dit long.
Du côté du Barça, aucun communiqué officiel, mais le staff de Xavi aurait demandé à Yamal de ne plus s’exprimer sur les réseaux sans validation préalable. Des tensions seraient apparues en interne, plusieurs cadres estimant que le jeune prodige avait “allumé un incendie inutile”.
💬 Les fans des deux camps s’affrontent désormais sur le terrain numérique : montages, parodies, détournements et même des chants de supporters remixés avec les mots de Yamal circulent partout. Pendant ce temps, le Real, sous pression sportive, s’apprête à affronter l’Inter Milan avec une motivation inédite.
Ce duel à distance entre un prodige encore adolescent et un entraîneur reconnu aura eu le mérite de rappeler que, dans le football moderne, les mots pèsent autant que les performances. Et que parfois… une phrase en latin peut faire bien plus de bruit qu’un but à la 90e minute.