Le rêve de Marcus Rashford de rejoindre le FC Barcelone vient de prendre un coup dur. Alors que l’attaquant de Manchester United avait récemment exprimé son désir sincère de porter les couleurs blaugranas, affirmant même être “prêt à faire des sacrifices personnels” pour faciliter sa venue, le Barça semble avoir fermé la porte à cette possibilité.

Selon des sources proches du club catalan, l’entraîneur Hansi Flick aurait personnellement soutenu l’idée d’intégrer Rashford dans son effectif, convaincu que son profil polyvalent et son expérience en Ligue des Champions pourraient apporter une nouvelle dimension à l’attaque barcelonaise.

« J’ai essayé de convaincre Laporta, mais ce n’est pas moi qui décide au final », aurait confié Flick à des membres de son entourage.
La raison principale de ce refus viendrait des contraintes financières toujours très présentes au sein du club, ainsi que de l’arrivée imminente de Nico Williams, qui évolue dans une zone similaire à celle de Rashford sur le terrain. Laporta et son équipe dirigeante auraient ainsi choisi de ne pas multiplier les investissements dans des profils redondants, surtout quand la masse salariale reste sous surveillance.
Une autre question se pose : Lamine Yamal, joyau de l’équipe et proche en termes de poste, aurait-il plaidé pour ou contre l’arrivée de Rashford ? Si certaines rumeurs laissent entendre que le jeune Espagnol aurait vu d’un bon œil l’arrivée de l’international anglais, d’autres affirment au contraire que le vestiaire serait divisé sur cette question.
Dans tous les cas, Rashford n’a pas encore réagi publiquement à cette nouvelle désillusion. Mais à en croire la presse britannique, le joueur serait “profondément déçu” et pourrait désormais envisager une prolongation avec Manchester United, voire explorer une autre destination européenne.
Ce revers pour Rashford souligne une fois de plus la complexité de l’environnement actuel au Barça, où même les grandes stars doivent composer avec des décisions stratégiques très strictes, dictées autant par le sportif que par l’économie.