Le Paris Saint-Germain a fait exploser la sphère médiatique ce matin avec une annonce aussi improbable que fracassante : Paul Pogba est de retour en Ligue 1, et pas dans n’importe quel club – le PSG. Quelques mois seulement après la levée de sa suspension pour dopage, l’ancien international français a signé un contrat de deux saisons avec l’ogre parisien, sous l’impulsion directe de Luis Enrique, qui aurait personnellement insisté pour sa venue.

Ce transfert, préparé dans le plus grand secret, a surpris jusqu’aux membres du vestiaire parisien. Selon des sources internes, certains cadres de l’équipe auraient exprimé des réserves, craignant l’impact médiatique et les risques sportifs liés à un joueur resté loin des terrains de haut niveau pendant plus d’un an. Mais d’autres, fascinés par l’aura du champion du monde 2018, voient en Pogba le facteur X capable de dynamiter n’importe quel milieu de terrain européen.
Luis Enrique, de son côté, assume pleinement son choix. Lors de la conférence de presse improvisée, il a déclaré :
« Paul est un joueur unique. Ce qu’il peut apporter à ce groupe, personne d’autre ne le peut. J’ai parlé avec lui longuement, il a faim, il a mûri, et il sait que c’est sa dernière grande opportunité. »
Du côté des supporters, c’est l’effervescence. Les réseaux sociaux ont été inondés de réactions mêlant excitation et scepticisme. Certains voient déjà en Pogba le nouveau patron du milieu parisien, tandis que d’autres redoutent un “coup marketing” qui pourrait diviser le groupe.
Mais ce retour soulève aussi des questions épineuses : Pogba est-il encore apte au très haut niveau ? Le PSG mise-t-il trop sur l’image au détriment de la performance ? Et surtout, comment ce choix affectera-t-il la dynamique d’un vestiaire encore euphorique après la conquête de sa première Ligue des Champions ?
Une chose est sûre : Paris vient de lancer une bombe sur le marché estival, et avec Pogba au Parc, les projecteurs sont plus que jamais braqués sur la capitale française. Entre renaissance ou fiasco, ce feuilleton est loin d’avoir livré son dernier épisode.