Manchester United semble prêt à frapper un grand coup sur le marché des transferts, et l’un des noms les plus discutés en coulisses n’est autre que Gonçalo Ramos, l’attaquant portugais du PSG. Peu utilisé cette saison dans la capitale française, le joueur de 23 ans est perçu par la direction parisienne comme un “surplus” — une aubaine pour un club anglais en quête de buts.

Après une saison cauchemardesque — la pire de leur histoire en Premier League — les Red Devils cherchent désespérément à retrouver leur statut. Leur attaque, en berne, n’a inscrit que sept buts en championnat via Højlund et Zirkzee, un chiffre alarmant pour un club de cette stature.
Bruno Fernandes, capitaine emblématique de United et coéquipier de Ramos en sélection portugaise, a déjà glissé quelques mots en faveur de son compatriote. Loin de se contenter d’un avis neutre, il a publiquement validé le profil du joueur pour le football anglais :

« Gonçalo a toutes les qualités pour jouer en Premier League : intensité, pressing, puissance physique, et une grande présence dans la surface. Il est jeune et va encore progresser. »
Dans une autre déclaration pleine de sous-entendus, Fernandes ajoute :
« Quand je parle de Premier League, je parle aussi de Manchester United. Mais je ne suis pas encore directeur sportif… »
Côté PSG, Ramos a souffert de la concurrence, notamment avec Ousmane Dembélé repositionné en pointe par Luis Enrique, ce qui a limité son temps de jeu. Malgré cela, il reste un profil attirant pour United : jeune, expérimenté, et toujours prometteur.
Pendant ce temps, Bruno Fernandes a lui-même décliné une offre faramineuse d’Al-Hilal en Arabie saoudite. 100 millions de livres pour United, 700 000 £/semaine pour lui, sur trois ans. Un choix que sa femme a largement influencé, en mettant sa passion et ses objectifs professionnels en priorité.
« Je veux rester au plus haut niveau, jouer les grandes compétitions. Je suis encore capable. »
Si United réussit à faire venir Ramos, ce serait non seulement un joli coup tactique, mais aussi une réponse claire aux doutes. Et Bruno, déjà capitaine, pourrait devenir le vrai architecte de la reconstruction.