ARTICLE – INTER : UNE DÉFAITE SOUS MENACE ?
La finale de la Ligue des Champions 2024/25 devait être un sommet du football européen. Au lieu de cela, elle devient un champ de controverses. Alors que le PSG fêtait encore son triomphe 5-0 face à l’Inter Milan, Simone Inzaghi a lâché une bombe médiatique : ses joueurs auraient été intimidés et menacés avant même de poser un pied sur la pelouse de Wembley.
“Nous n’avons pas perdu uniquement sur le plan tactique ou physique… il y avait autre chose dans l’air. Une pression étrange, presque étouffante. Certains joueurs ont reçu des messages… menaçants.”
Une déclaration lourde de conséquences, prononcée dans une interview exclusive accordée à Sky Italia. L’entraîneur italien, visiblement atteint, n’a pas souhaité nommer les destinataires des menaces, ni les auteurs, mais affirme que l’ambiance dans le vestiaire était “irrespirable” dès l’échauffement.

đ Une finale sous contrôle invisible ?
Si Inzaghi n’accuse personne directement, les réseaux sociaux s’emballent. Certains supporters, déjà méfiants face aux rumeurs de paris truqués ou de pressions extérieures, voient dans ces révélations un nouveau chapitre du “complot anti-Inter”. D’autres pointent l’inaction de l’UEFA, qui aurait été alertée mais aurait préféré “éviter le scandale avant la finale”.
đ Les joueurs paralysés ?
Des images d’avant-match resurgissent : Lautaro les yeux dans le vide, Barella qui peine à se concentrer… De simples coïncidences ? Pas selon Inzaghi :
“Certains étaient méconnaissables. Le match était presque perdu dans leur tête avant de commencer.”
đ± Et maintenant ?
La direction de l’Inter n’a pas encore publié de communiqué officiel, mais une plainte pourrait être déposée dans les prochains jours si de nouveaux éléments viennent corroborer les accusations. Côté PSG, silence radio. Le club parisien, déjà empêtré dans l’affaire de dopage présumé, fait profil bas.
Le football européen pourrait-il avoir assisté à une finale sous influence ? Le doute s’installe… et le scandale ne fait peut-être que commencer.