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Quelques jours après la claque monumentale infligée par le PSG à l’Inter Milan (5-0) en finale de Ligue des Champions, les langues commencent à se délier… et certaines piquent très fort.
Invité sur un plateau télé pour évoquer la déroute de l’Inter, Lilian Thuram n’a pas hésité à monter au créneau pour défendre son fils Marcus Thuram, impuissant lors de cette finale historique. Selon l’ancienne légende des Bleus, la performance des Parisiens n’était pas aussi impressionnante qu’annoncée :
« Je ne pense pas que le PSG ait dominé par le jeu. C’était une soirée où tout a tourné en leur faveur. L’Inter n’était pas dans son jour. Ce genre de victoire tient parfois plus à la chance qu’à la supériorité. »
Une déclaration qui n’a pas tardé à enflammer les réseaux sociaux, mais surtout… à déclencher une réaction cinglante de Désiré Doué, élu homme du match et artisan majeur du triomphe parisien.
En conférence de presse, le jeune crack français, sans jamais citer Lilian Thuram, a visé juste :
« Quand on perd 5-0 dans une finale, le plus digne, c’est d’accepter la défaite et de se remettre en question. Chercher des excuses ne changera pas le score. »
đ„ Une réponse sèche, percutante, qui a été saluée comme « la punchline de l’année » par certains journalistes français. Sur X (ex-Twitter), de nombreuses personnalités du foot ont appuyé les propos de Doué, jugeant que Lilian Thuram avait dépassé les limites en mêlant son nom de légende pour justifier l’échec de son fils.
Ce clash inattendu entre deux générations — une icô
ne des années 1998–2006 face à l’étoile montante de 2025 — illustre un climat tendu autour du football français post-finale. Une victoire du PSG censée rassembler, mais qui révèle aussi des crispations profondes entre passé, présent… et avenir.
