À quelques jours seulement de la finale de la Ligue des champions, un scandale secoue le football italien. Simone Inzaghi, coach de l’Inter Milan, aurait franchi une ligne rouge en s’en prenant violemment à Gianluigi Donnarumma, gardien du Paris Saint-Germain et pilier de la sélection italienne.

Selon plusieurs sources proches du vestiaire, Inzaghi aurait proféré des insultes directes envers Donnarumma, le traitant notamment de « traître » et de « honte pour l’Italie ». Une attaque d’une rare virulence qui aurait été prononcée devant plusieurs témoins, laissant l’entourage de la Nazionale stupéfait. Mais ce n’est pas tout : dans un excès de colère, le technicien lombard aurait même menacé d’exclure Donnarumma des prochaines convocations en équipe nationale. Une déclaration d’autant plus polémique qu’Inzaghi ne détient aucun pouvoir officiel au sein du staff de la sélection italienne — un rôle réservé à Luciano Spalletti.
Face à ces propos incendiaires, beaucoup s’attendaient à une réaction musclée du portier parisien. Mais Donnarumma, fidèle à son image de roc silencieux, a choisi la voie du sang-froid. Dans une courte déclaration à la presse, il s’est contenté de dire :
« Je suis concentré sur la finale. Je respecte tous les entraîneurs, même ceux qui oublient parfois leur place. »
Une réponse tranchante, glaciale, et qui a été saluée par de nombreux observateurs italiens. Sur les réseaux sociaux, l’opinion publique se déchaîne. Tandis que certains appellent à des excuses immédiates de la part d’Inzaghi, d’autres pointent du doigt une tentative de déstabilisation avant un match crucial.
Ce nouvel épisode relance une vieille fracture au sein du football italien : la rivalité entre les anciens de Milan (où Donnarumma a commencé sa carrière) et l’Inter, que certains accusent aujourd’hui d’utiliser la politique du chaos pour prendre un avantage psychologique.
Une chose est sûre : cette finale n’a pas encore commencé qu’elle est déjà sous haute tension.