📰 BARELLA S’INCLINE DEVANT UN MAÎTRE DU JEU : “IL NE NOUS A LAISSÉ AUCUNE CHANCE” – L’ÉLOGE SURPRENANT D’UN JOUEUR OUBLIÉ DU PSG

Après la défaite de l’Inter Milan en finale de Ligue des Champions 2025 contre le Paris Saint-Germain, une déclaration a attiré l’attention de toute l’Europe. Alors que les regards étaient tournés vers les buteurs vedettes comme Dembélé ou Kvaratskhelia, c’est un nom inattendu que Nicolò Barella a cité en conférence de presse :

“Depuis mon arrivée à l’Inter Milan, je n’avais jamais été confronté à un joueur aussi talentueux que lui. Il nous a posé énormément de problèmes ; même si nous avons joué de notre mieux, il ne nous a laissé aucune chance de gagner.”

Une phrase lourde de sens, presque un aveu d’impuissance… mais qui était donc ce joueur ?
Certains ont cru à Vitinha, d’autres à Fabian Ruiz. Pourtant, le maître de l’ombre qui a changé le destin du PSG n’était autre qu’Achraf Hakimi.

Un latéral devenu chef d’orchestre

Dans un rôle hybride de piston-défenseur-meneur, Hakimi a étouffé les contre-attaques de l’Inter, tout en étant le premier accélérateur du PSG, transformant chaque récupération en occasion nette.
Ses courses incessantes, sa lecture de jeu défensive et sa précision chirurgicale dans les transmissions ont brisé tous les circuits milanais.

Même sans but ni passe décisive, il a dominé la rencontre comme un général invisible.
Barella, pourtant l’un des milieux les plus complets d’Europe, n’a pu que constater :

“Quand un joueur te pousse à sortir de ta zone de confort pendant 90 minutes sans que tu puisses inverser la tendance… tu sais qu’il est spécial.”

Le public ouvre les yeux… enfin ?

Longtemps éclipsé par les stars offensives, souvent critiqué pour son irrégularité, Hakimi semble avoir livré son match référence. Sur les réseaux, on le surnomme déjà “le Cafu du Maroc” ou encore “le mur latéral du PSG.”

Les supporters demandent désormais que la performance d’Hakimi soit prise en compte dans les nominations individuelles, voire au Ballon d’Or. Car parfois, ce ne sont pas les buteurs qui gagnent les matchs, mais ceux qui empêchent les autres de jouer.