Le FC Barcelone a officialisé la prolongation de contrat de son entraîneur Hansi Flick jusqu’en juin 2027. Une décision qui, à première vue, pourrait paraître logique après une série impressionnante de performances, notamment les quatre victoires consécutives contre le Real Madrid en Liga, en Supercoupe et en Coupe du Roi. Mais selon plusieurs sources proches du club, les véritables raisons et les clauses de ce contrat sont bien plus explosives.

En premier lieu, le salaire de Flick a littéralement doublé par rapport à son précédent accord. Il devient désormais l’un des entraîneurs les mieux rémunérés d’Europe, avec des primes exceptionnelles en cas de victoire en Ligue des Champions ou en cas de maintien de la supériorité sur le Real Madrid dans les prochaines confrontations directes. Ce détail, apparemment anodin, a été vu par certains médias madrilènes comme une provocation claire.

Mais ce qui fait le plus de bruit, c’est une clause confidentielle révélée par la presse catalane : le contrat contient une prime spéciale “Anti-Real”. En clair, si Barcelone remporte de nouveau les deux confrontations en Liga contre le Real ou les affronte en phase finale d’une autre compétition et les élimine, Flick recevra un bonus personnel à sept chiffres.

Cette disposition a déclenché une vague de réactions sur les réseaux sociaux. Certains y voient une motivation stratégique bien pensée, d’autres une obsession malsaine envers le club rival. “Ce n’est plus du sport, c’est une guerre psychologique entre deux empires”, écrit un fan sur X (ex-Twitter). De son côté, le Real Madrid, bien que silencieux, n’aurait pas du tout apprécié ce clin d’œil indirect.

En interne, cette prolongation est perçue comme une manœuvre de stabilité à long terme. Joan Laporta veut miser sur la continuité d’un projet ayant redonné espoir à tout un vestiaire. Mais surtout, le président catalan semble vouloir envoyer un message fort à la Maison Blanche : le Barça est de retour, et Flick en est l’architecte principal.