đ„ Simone Inzaghi au bord du gouffre : le vestiaire de l’Inter se fissure avant la finale contre le PSG !
â ïž Le coach italien exige des efforts « surhumains »… mais certains cadres ne répondent plus à l’appel !
đ Une tension explosive : après avoir perdu le Scudetto, l’Inter est au bord d’une saison blanche…
â Inzaghi a-t-il perdu le contrôle du vestiaire au pire moment ?
✠PSG arrive avec sa meilleure forme de l’année – l’Inter est-elle prête à encaisser le choc ?

đ° Article :
La finale de la Ligue des Champions approche à grands pas, et si du côté de Paris, l’enthousiasme monte en flèche, à Milan, c’est l’inquiétude qui s’installe. Simone Inzaghi, l’entraîneur de l’Inter, aurait de plus en plus de mal à maintenir l’unité au sein de son groupe. D’après Corriere dello Sport, relayé par FCInterNews, l’ex-coach de la Lazio pousse ses joueurs « au-delà de leurs limites »… mais cette intensité semble provoquer l’effet inverse.
Après avoir été détrôné par Naples en Serie A, l’Inter risque de finir la saison sans aucun titre – un scénario impensable il y a quelques mois. La pression est immense. Inzaghi, qui a récupéré Piotr Zielinski et Benjamin Pavard, espérait retrouver un effectif au complet pour aborder cette semaine décisive. Mais dans les coulisses, des sources proches du vestiaire parlent d’un malaise croissant. Certains joueurs ne répondraient plus à ses consignes avec la même intensité, d’autres exprimeraient leur lassitude face à une préparation jugée « extrême ».
La star argentine Lautaro Martinez tenterait tant bien que mal de remobiliser les troupes, mais les regards sont déjà tournés vers l’après – certains songeraient à quitter le club en cas de défaite face au PSG.
De son côté, Paris Saint-Germain arrive dans une forme exceptionnelle, après un triplé national et une confiance retrouvée sous Luis Enrique. L’ombre d’une humiliation européenne plane sur les Nerazzurri. La finale de Munich, loin d’être une opportunité en or, devient désormais un test ultime pour le leadership d’Inzaghi.
Si l’Inter chute samedi soir, ce ne sera peut-être pas uniquement à cause de la force parisienne… mais bien d’un vestiaire qui n’y croit plus.