Le prestigieux Ballon d’Or 2025 s’annonce plus imprévisible que jamais. Selon les dernières révélations, la cérémonie aura lieu le 22 septembre, soit un mois plus tôt que l’édition précédente. Mais ce n’est pas le seul changement qui intrigue les amateurs de football : les nouvelles règles de sélection soulèvent de nombreuses questions sur la transparence et l’équité du vote.

L’Union des associations européennes de football (UEFA) et Groupe Amaury, propriétaire de France Football et L’Équipe, continuent de piloter le processus. Le 6 août prochain, la liste officielle des nominés sera dévoilée. Ensuite, 100 journalistes issus des 100 premières nations du classement FIFA seront appelés à voter. Mais qui sont-ils vraiment ? Et sur quels critères voteront-ils ? C’est justement ce flou qui fait parler.

Autre donnée cruciale : le calendrier des compétitions internationales. Le FIFA Club World Cup 2025, prévu du 14 juin au 13 juillet, pourrait jouer un rôle décisif. Des stars comme Mohamed Salah (Liverpool), Lamine Yamal ou Raphinha (Barcelone) n’y participeront pas, faute de qualification de leurs clubs. Une absence qui pourrait leur coûter cher dans la course au Ballon d’Or, malgré des performances individuelles exceptionnelles.

À l’inverse, des joueurs comme Lautaro Martínez (Inter Milan) ou Ousmane Dembélé (Paris Saint-Germain), encore en lice pour la Ligue des Champions et le Mondial des Clubs, pourraient marquer des points précieux s’ils remportent l’un ou les deux trophées.
Ce contexte inédit alimente une rumeur persistante : et si les jeux étaient déjà faits ? Certains observateurs affirment que les nouvelles règles favoriseraient les profils déjà en haut de l’affiche médiatique, au détriment de la régularité ou des performances collectives.
Quoi qu’il en soit, cette édition 2025 du Ballon d’Or s’annonce tendue, stratégique et pleine de rebondissements. Pour les fans de football, une question brûle les lèvres : le lauréat sera-t-il vraiment le meilleur joueur du monde… ou le mieux placé dans les coulisses ?