Le Real Madrid vit une nouvelle soirée électrique. Selon les révélations exclusives de DefensaCentral, David Alaba, pourtant ciblé pour un départ cet été, a définitivement rejeté toutes les propositions visant à rompre son contrat. Le défenseur autrichien de 33 ans a refusé l’offre de Florentino Perez – qui lui proposait la moitié de son salaire en échange d’une libération anticipée – et a juré de rester jusqu’au dernier jour de son bail, en juin 2026.
👉 Cette décision, jugée “inflexible” dans les bureaux de Valdebebas, a plongé Perez dans un rare état d’impuissance. Le président, habituellement maître absolu des négociations, aurait quitté une réunion avec ses directeurs sportifs “sans prononcer un mot, livide de colère”.
Mais le plus surprenant est venu de l’entraîneur Xabi Alonso. Selon des sources proches du vestiaire, Alonso a accueilli la nouvelle avec un silence glacial. Derrière ce masque d’acier, certains cadres du club ont interprété une sensation de trahison : l’entraîneur voulait remodeler sa défense, donner plus de minutes au jeune Dean Huijsen et préparer l’arrivée éventuelle d’Ibrahima Konaté en 2026. Le refus catégorique d’Alaba a bloqué cette manœuvre.
🔥 Le vestiaire explose de réactions contradictoires
Certains joueurs de Madrid, proches d’Alaba, ont applaudi son courage et sa loyauté envers le club, affirmant que “personne n’a le droit de forcer un joueur à partir”. Mais d’autres voix s’élèvent. Un cadre madrilène – resté anonyme – aurait lâché cette phrase lourde de sens :
“Ce n’est plus le même Alaba. Son corps l’abandonne, mais son contrat lui donne plus de pouvoir que l’équipe elle-même.”
Ce témoignage a enflammé les réseaux sociaux espagnols, où le hashtag #AlabaGate est rapidement monté en tendance.
💥 Perez perd le contrôle, Alonso se crispe
Florentino Perez, rarement pris de court, n’aurait pas caché sa frustration en privé. Des proches affirment qu’il a même confié :
“Je peux acheter les meilleurs joueurs du monde, mais je ne peux pas forcer un champion à renoncer à son passé. C’est la première fois depuis longtemps que je me sens prisonnier d’un contrat.”
De son côté, Xabi Alonso, homme de principes, serait allé voir Alaba pour une discussion franche. Les témoins racontent un face-à-face tendu : l’Autrichien, calme mais ferme, répétant qu’il voulait “finir dignement” à Madrid ; Alonso, glacé, répondant simplement :
“Alors il faudra assumer les conséquences.”
Cette phrase, rapportée par plusieurs médias, est devenue virale, donnant une impression de fracture interne.
🕵️ Le twist inattendu : un autre tronc fragile se fissure
Comme si cela ne suffisait pas, AS révèle qu’un autre vétéran du vestiaire, dont le nom reste tenu secret, aurait également exprimé son mécontentement face à la direction. Certains pensent qu’il s’agirait de Luka Modrić, fatigué de sa mise à l’écart progressive. Si cette rumeur venait à se confirmer, le Real Madrid pourrait entrer dans une mini-crise institutionnelle, juste avant la phase décisive de la saison.
🚨 Conclusion : une bombe à retardement
Le dossier Alaba, loin d’être clos, devient une bombe à retardement. Perez ne peut se permettre de céder à un joueur qui bloque son projet, mais il ne peut non plus déclencher une guerre ouverte avec une légende respectée du vestiaire. Alonso, lui, devra composer avec une défense qu’il n’avait pas prévue, tout en surveillant l’équilibre fragile de son groupe.
Dans ce mélange d’orgueil, de loyauté et de tensions internes, une seule certitude : le Real Madrid est entré dans une zone de turbulence imprévisible. Et les supporters, partagés entre respect et frustration, n’ont sans doute encore rien vu…